GWO – Formation complète et recyclage

La certification GWO (Global Wind Organisation) proposée par l’École nationale supérieure maritime est la formation obligatoire pour le travail éolien onshore et offshore. Fort de son expérience dans la formation à la survie en mer, le centre CESAME propose la formule « GWO complet et recyclage » pour répondre au mieux aux attentes des acteurs du monde éolien. Le stage aborde les cinq modules obligatoires : lutte incendie, premiers secours, gestes et postures, travail en hauteur et survie en mer (pour l’éolien offshore uniquement).

GWO – Formation complète et recyclage

La certification GWO proposée par l’Ecole Nationale Supérieure Maritime est la formation obligatoire pour le travail éolien onshore et offshore. Forte de son expérience dans la formation à la survie en mer, le centre CESAME propose la formule GWO complet et recyclage pour répondre au mieux aux attentes des acteurs du monde éolien. Le stage aborde les 5 modules obligatoire : Lutte incendie, Premiers secours, Gestes et Postures, Travail en hauteur et Survie en mer (pour l’éolien offshore uniquement.)

Expert en énergies marines renouvelables

L’objectif de ce mastère spécialisé en un an est de former des chefs de projet et des directeurs de programme capables de concevoir et de développer la filière énergie marine. La majorité des enseignements est ainsi consacrée à la connaissance des ressources, aux impacts sur l’environnement, aux problèmes sociétaux, aux aspects juridiques et économiques ; le reste des cours est dédié à l’ingénierie. Le premier semestre se déroule à Brest et fait intervenir les différents établissements partenaires du programme : Ensta Bretagne, École navale, Ifremer, université de Bretagne-Occidentale, IMT Atlantique, etc. Le second semestre est dédié à la thèse professionnelle en entreprise ou au centre de recherche en France ou dans un autre pays, avec soutenance en septembre.

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante « réseaux électriques et énergies renouvelables », et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante « réseaux électriques et énergies renouvelables », et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Génie industriel et maintenance

Depuis 2008, le département Génie industriel et maintenance (GIM) a introduit dans ses formations des enseignements technologiques appliqués aux énergies renouvelables. Durant leur cursus, les étudiants disposent ainsi de plusieurs dizaines d’heures de cours et de travaux pratiques sur l’éolien (le potentiel éolien, l’aérodynamique, l’automatisation d’une éolienne, la maintenance) et sur le solaire thermique. Des enseignements sur les énergies de la mer sont également dispensés dans cette ressource d’enseignement. Cette base de savoirs techniques est complétée par des projets autour des énergies renouvelables, conduisant les étudiants à acquérir des compétences opérationnelles dans ces domaines.
Ce BUT est composé de trois parcours dont un est particulièrement lié aux EnR : le parcours mesures et analyse environnementale (MAE). Ce parcours commence au BUT2 et est surtout présent au BUT3 (200 heures). Il est composé pour moitié d’enseignements sur la mesure environnementale (les polluants air, eau, sol, bruit, radioactivité, vibrations…) ; pour l’autre moitié sur les mesures dans les contextes de production d’EnR.

Génie industriel et maintenance

Depuis plus de quinze ans, le département Génie industriel et maintenance (GIM) de l’IUT de Perpignan a introduit dans ses formations des enseignements technologiques appliqués aux énergies renouvelables et aux communs. Durant leur cursus, les étudiants disposent ainsi de plusieurs dizaines d’heures de cours et de travaux pratiques sur l’éolien (le potentiel éolien, l’aérodynamique, l’automatisation d’une éolienne, la maintenance) et sur le solaire thermique. Des enseignements sur les énergies de la mer sont également dispensés dans cette ressource d’enseignement. Cette base de savoirs techniques est complétée par des projets autour des énergies renouvelables, conduisant les étudiants à acquérir des compétences opérationnelles dans ces domaines.

BUT Génie civil – construction durable – parcours Travaux bâtiment (GC-CD-TB)

Le BUT GC-CD (génie civil – construction durable) forme des professionnels dotés de compétences technologiques (techniques de construction, des fondations aux structures jusqu’aux équipements techniques, confort thermique, acoustique et visuel, choix des matériaux, etc.), mais également capables de gérer des projets. La formation propose un socle scientifique et général qui permet aux étudiants d’acquérir un ensemble de connaissances opérationnelles concernant la conception des ouvrages aussi bien que leur réalisation sur chantier. Le BUT GC-CD se décline en quatre parcours à choisir en deuxième année : bureaux d’études conception ; réhabilitation et amélioration des performances environnementales des bâtiments ; travaux bâtiment ; travaux publics. Le parcours Travaux bâtiment forme des techniciens supérieurs capables de choisir et de justifier des solutions techniques en phase de préparation comme de réalisation. Ce BUT donne à l’élève des compétences couvrant l’ensemble des techniques de construction, des fondations aux structures jusqu’aux équipements techniques.

BUT Génie civil – construction durable – parcours Travaux bâtiment (GC-CD-TB)

Le BUT GC-CD (génie civil – construction durable) forme des professionnels dotés de compétences technologiques (techniques de construction, des fondations aux structures jusqu’aux équipements techniques, confort thermique, acoustique et visuel, choix des matériaux, etc.), mais également capables de gérer des projets. La formation propose un socle scientifique et général qui permet aux étudiants d’acquérir un ensemble de connaissances opérationnelles concernant la conception des ouvrages aussi bien que leur réalisation sur chantier. Le BUT GC-CD se décline en quatre parcours à choisir en deuxième année : bureaux d’études conception ; réhabilitation et amélioration des performances environnementales des bâtiments ; travaux bâtiment ; travaux publics. Le parcours Travaux bâtiment forme des techniciens supérieurs capables de choisir et de justifier des solutions techniques en phase de préparation comme de réalisation. Ce BUT donne à l’élève des compétences couvrant l’ensemble des techniques de construction, des fondations aux structures jusqu’aux équipements techniques.

Maintenance des systèmes option C, systèmes éoliens

Ce BTS forme à la maintenance corrective, à la maintenance préventive, à la maintenance améliorative, à l’intégration d’un bien, à l’organisation de la maintenance.
En maintenance corrective, l’élève apprend à appliquer le plan d’une démarche d’investigation, à rétablir la fonction d’un bien, à mettre en service et/ou à l’arrêt un bien. En organisation de la maintenance, l’élève apprend à maîtriser les systèmes pour analyser les indicateurs de maintenance, définir l’organisation d’une activité, organiser l’activité de maintenance. En maintenance préventive, il est formé à analyser les risques, mettre en œuvre les mesures de prévention adaptées, réaliser des opérations de maintenance préventive, communiquer par l’écrit. En maintenance améliorative, il apprend à définir des solutions d’amélioration, de réaliser des travaux, de communiquer oralement. Pour l’intégration d’un bien, l’élève est formé à la connaissance de l’organisation fonctionnelle, structurelle et temporelle d’un bien, à caractériser la chaîne de puissance et d’information.
En option systèmes éoliens, l’élève apprend les méthodes et les moyens visant à assurer les conditions d’une production d’énergie électrique optimale ainsi que le meilleur taux de disponibilité des machines sur les parcs éoliens. L’élève doit avoir une bonne condition physique, une grande autonomie, un bon esprit d’équipe et être capable de travailler en hauteur (nacelles d’éoliennes pouvant culminer à plus de 100 mètres) et en milieu clos.
Dans un environnement isolé et restreint, le technicien et son équipier assurent la maintenance des systèmes tout en veillant à respecter les préconisations émises par le constructeur en termes de sécurité, de gestes et de postures. Le technicien travaillant sur des parcs offshore doit maîtriser les risques spécifiques liés à la sécurité et au travail en mer ainsi qu’au survol des sites.